Un effet lift avec des injections ? C'est possible ! - Traitements esthétiques de Merz Aesthetics

Un effet lift avec des injections ? C’est possible !

BLOG

Un effet lift avec des injections ? C’est possible !

Un ovale moins bien défini ? Des bajoues un peu tombantes ? Le début d’un double menton ? Ces premiers signes d’un relâchement cutané nous font réfléchir, néanmoins un lifting chirurgical nous semble prématuré… Peut-on obtenir un effet liftant avec des fillers ?
Oui, mais seulement si le relâchement cutané de votre visage n’est pas trop sévère.
Les indications pour obtenir un effet liftant par injections sont nombreuses. Parmi celles-ci, la perte de volumes, la ptose du visage à certains endroits comme par exemple l’ovale du visage, l’apparition de plis d’amertume, de commissures labiales ou encore de sillons nasogéniens qui se creusent.. Autant de signes qui marquent le début d’un relâchement cutané.

Oui grâce aux injections de fillers

Il faut néanmoins bien faire la différence entre le fait de retrouver du volume, ce qui entraînera un léger effet de tension sur des parties très ciblées du visage, et une véritable tension des tissus vers le haut qui ne pourra se faire qu’avec des méthodes de traction, par exemple les fils tenseurs et le lifting chirurgical.
Pour retrouver du volume, des injections utilisant un produit de comblement volumateur sont donc recommandées.
Les produits de comblement volumateurs ont une texture dense et élastique qui apportent du volume tout en respectant les expressions faciales. Le fait de combler un creux et de restaurer des volumes perdus au fil du processus de vieillissement apportera un effet liftant subtil mais bien réel. Pour une remise en tension adaptée, le médecin pourra injecter des « vecteurs » de produit en diagonale en direction de la tempe afin de tracter les tissus vers le haut et l’arrière. Il pourra aussi injecter les tempes qui ont tendance à se vider de leur tissu graisseux. Enfin, la zone de la vallée des larmes (le sillon situé entre le nez et les pommettes, sous les cernes) peut être également subtilement comblée afin de la remonter avec un filler souple.
On sait par exemple qu’en injectant le long de la ligne mandibulaire et dans le creux de la bajoue et du menton, on pourra améliorer l’ovale du visage.
Il est nécessaire néanmoins d’être très précis dans les injections destinées à lutter contre le relâchement cutané sous peine d’entraîner un effet inverse en raison d’un alourdissement des zones traitées. Certains praticiens trouveront par exemple peu judicieux d’injecter directement le sillon nasogénien ou le pli d’amertume. Parlez-en à votre médecin.

Oui grâce aux inducteurs de collagène

Des injections d’inducteurs tissulaires peuvent être pertinentes pour des zones relâchées faisant apparaître une peau fripée. Les inducteurs tissulaires stimulent la production de collagène et seront particulièrement indiqués en cas de ptose, par exemple. Ils vont assurer la projection souhaitée et vous apporter un effet “lift”, corrélé par la stimulation collagénique, une restructuration des tissus va permettre de le maintenir par la régénération cutanée.
L’absence d’hydrophilie assure également des résultats satisfaisants dans la restauration des contours.

Si toutefois le relâchement cutané d’un visage devenait plus conséquent, il est possible d’envisager d’autres traitements comme les fils tenseurs ou un lifting chirurgical dans un second temps. Nous vous invitons à vous rapprocher de votre praticien pour plus d’informations.

La bonne approche ?

Avant toute démarche de médecine esthétique, prenez rendez-vous avec un praticien habilité afin qu’il comprenne vos attentes et vos besoins. Votre médecin pourra vous conseiller et vous orienter au mieux vers une solution adaptée à vos besoins et à votre type de peau.
Il n’y a pas de bonne ou mauvaise approche, cela dépendra du médecin et de vous. Différentes techniques existent, les fillers sont une solution permettant de restaurer le volume des tissus affectés par le processus de vieillissement et/ou facteurs externes, mais il y en a d’autres. Consultez votre médecin.